29 mai 2017
- 52 - Si après le texte...
Si après le texte, tu n’es pas épuisé, si tu ne sens pas ton corps démantelé, si rien de ta chair ne tremble, alors tu n’as pas écrit. Si, après le texte, tu n’es pas englouti, pantelant, pauvre, alors tu n’as pas écrit.
Le mot sort du muscle, du muscle qui se contracte, du muscle gorgé de sang. Il y a là, une réconciliation. C’est comme aimer…
Franck.
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